Nataïs recherche de nouveaux producteurs partenaires dans le Sud-Ouest
TNC le 28/08/2019 à 14:26
Afin d'affirmer sa position de leader européen du maïs à éclater, Nataïs cherche de nouveaux producteurs partenaires dans le sud-ouest de la France.
Leader européen du maïs à éclater, Nataïs en produit 55 000 tonnes en vrac et vend 200 millions de sachets micro-ondables par an (soit 8 200 hectares cultivés). L’entreprise entend poursuivre cette dynamique et est actuellement à la recherche de nouvelles surfaces cultivables dans le Sud-Ouest. « Les producteurs intéressés par la perspective de produire du maïs à éclater pour Nataïs en vue de la récolte 2020 peuvent se porter candidats auprès de l’équipe du partenariat agronomique de Nataïs », précise l’entreprise dans son communiqué.
« Nous avons besoin de sécuriser nos approvisionnements en volume et en qualité afin de satisfaire les demandes de nos clients partout dans le monde, explique Michael Ehmann, fondateur et président de Nataïs. C’est dans le Sud-Ouest, notre territoire d’origine, que nous souhaitons continuer à développer des surfaces cultivables, dans un rayon de 170 kilomètres autour de notre site de production de Bézéril (Gers). Les départements concernés par notre recherche sont le Gers, la Haute-Garonne, les Landes, le Lot-et-Garonne, le Lot, le Tarn et le Tarn-et-Garonne ».
« En échange d’une production de haute qualité, nous assurons aux maïsiculteurs une relation solide et durable dans le cadre d’un contrat annuel avec possibilité de reconduction dans la durée. Dans le contexte difficile des prix des céréales sujets à des fluctuations, nous nous engageons sur une sécurisation des prix », assure Mélanie Bayard, responsable des partenariats agronomiques au sein de Nataïs. Dans le cadre de la démarche « Naturellement popcorn », l’entreprise entend aussi « accompagner les agriculteurs durablement dans la transition progressive vers l’agro-écologie ».
Les équipes de Nataïs travaillent actuellement sur « un outil de mesure permettant de calculer le bilan carbone de chaque agriculteur. […] Grâce à cet outil, nous offrons une compensation supplémentaire proportionnelle aux tonnes de carbone séquestrées dans le sol », ajoute Michael Ehmann.